Les INFOS du cinéma :
Quelques galères en cabine avec LE CAPITAL et NOUS YORK, bref ils ont réglé les problèmes à temps pour assurer les projections.
A voir absolument le dernier film de CLINT EASTWOOD et si vous n’avez pas encore vu le dernier JAMES BOND qui en est à 6.134.045 entrées en France, nous avons pensé à vous samedi 8 et mardi 11 décembre en soirée.
Le 12 décembre en sortie nationale, la 14 ieme au Douron cette année, venez vous régaler avec « MES HEROS » Réalisé par Eric BesnardAvec Josiane Balasko, Gérard Jugnot, Clovis Cornillac
Pour un Noël un programme jeunes et ados, LES CINQ LEGENDES et LE HOBBIT, avec deux séances le 24 à 14h30 et 17h puis une idée de cadeau « offrir le cinéma » pour le 25 à 17h.
Certains d’entre vous expriment le souhait d’une programmation plus riche en films « Art & Essai », d’autres souhaitent un programme plus riche avec un « mix » de films jeune public et grand public. L’équipe du cinéma ayant en charge la programmation vit le même « casse-tête » pour monter le programme du cinéma avec les films en sortie nationale et 2°/3° semaine. Le projet d’une deuxième salle, mis en sommeil il y a quelques années, serait une bonne solution pour donner une nouvelle dimension au DOURON votre pôle culturel. Nous avons besoin de votre soutien pour mener à bien un tel projet. Exprimez-vous en nous écrivant sur notre site internet.
En réponse à la remarque « c’est vraiment pas intéressant la publicité avant le film » il faut savoir que cette recette complémentaire contibue au coût d’impression du programme du cinéma que vous trouvez avec plaisir dans de nombreux commerces du canton.
UNE NOUVELLE CHANCE
Retour devant la caméra
C’est la première fois depuis 1993 (Dans la ligne de mire) que Clint Eastwood revient en tête d’affiche dans un long métrage dont il n’est pas le réalisateur. Ces vingt dernières années, il n’était en effet apparu que dans ses propres films. L’acteur, qui avait pourtant affirmé que Gran Torino serait sa dernière apparition à l’écran, a donné bien du fil à retorde au réalisateur de Une nouvelle chance, Robert Lorenz, avant d’accepter de jouer dans son film !
Si Clint Eastwood a finalement consenti à reprendre les armes, c’est par amitié pour le cinéaste Robert Lorenz, qui a été son assistant réalisateur à sept reprises avant de signer à son tour son premier film ! Les deux hommes, forts de leur collaboration, sont devenus très proches.
Clint, joueur de baseball
Clint Eastwood a été membre d’une équipe de baseball dans sa jeunesse, les Atlanta Braves.
L’équipe de tournage a tourné les scènes de bar dans des décors réels au Cheers Bar de Macon, au George’s Restaurant and Bar d’Atlanta et au Hank & Jerry’s Tavern de Conyers.
SKYFALL
Un acteur qui n’a pas froid aux yeux
Tout au long du tournage, Daniel Craig a tenu à réaliser lui-même ses cascades : « Dans un James Bond, on fait les choses en vrai, et on ne les fait pas à moitié ! Si nous avons recours aux images de synthèse, c’est seulement pour rehausser une scène, et non pas pour la créer », explique l’acteur. Cet engagement a impressionné Javier Bardem : « Il réalise les scènes d’action avec une grande facilité – en le regardant faire, je me disais souvent : « À ta place, je ne ferais pas ça… » », commente-t-il.
Rolling in the Bond !
Pour ce 23ème opus de la saga, c’est la chanteuse londonienne Adele qui signe le thème musical introductif : « La seule personne que nous voulions était Adele (…) son thème est digne des plus grands classiques de la saga Bond« , explique avec enthousiasme la productrice Barbara Broccoli. La chanson porte, comme c’est le cas pour la majorité des volets de la saga, le même nom que le film.
J’ENRAGE DE SON ABSENCE
Un film inspiré d’une rencontre
L’idée de ce film est née d’une histoire personnelle. Sandrine Bonnaire a ainsi déclaré : « J’ai repensé à un homme qui était lié à ma mère et a accompagné mon enfance. Il a disparu, et je l’ai recroisé par hasard à l’âge de 20 ans. (…) Je me souviens que je me suis promis, un jour, de faire quelque chose sur cet homme, sur son histoire, son destin. »
Dans la langue de Molière
Pour la première fois, l’acteur américain William Hurt a joué en français. Une difficulté qui s’est vite transformée en plaisir : « Je parle la langue de l’art avec Sandrine et mes compagnons. Je suis fier de ce film, comme je ne l’ai jamais encore été », déclare l’acteur.
Actrice, réalisatrice et écrivain
Ce n’est pas seulement à travers le cinéma que Sandrine Bonnaire fait parler d’elle. L’actrice s’exprime également en littérature puisqu’elle a également publié un livre en 2010, « Le Soleil me trace la route », issu de ses conversations avec deux journalistes et amis, Tiffy Morgue et Jean-Yves Gaillac.