Vu en avant première et retenu à l’affiche de cette semaine cinéma
2 DAYS IN NEW YORK – 4 bonnes raisons d’aller voir ce film
- Albert Delpy, plus truculent que jamais !
- L’apparition inattendue de Vincent Gallo dans son propre rôle
- Les irrésistibles crêpages de chignon entre Marion et sa sœur…
- Un Chris Rock sage, à contre-emploi
Un film tout à la fois drôle, caustique, subtil, sensible, fin et loufoque.
Une suite pour « 2 days in Paris » !
Le film 2 Days in New York est la suite de la comédie 2 Days in Paris (2007) de Julie Delpy. La cinéaste comédienne a choisi de ne pas reprendre le même acteur (Adam Goldberg) pour jouer son partenaire à l’écran, car elle avait peur que ce diptyque en rappelle un autre : Before Sunset/Before Sunrise avec Ethan Hawke.
Un an de réflexion
Julie Delpy n’est pas du genre à se précipiter. Faire une suite ? Pourquoi pas, mais encore faut-il avoir de la matière. C’est pourquoi la réalisatrice a passé environ un an à réfléchir à l’intrigue et à prendre des notes avant de se lancer dans le projet
et bien sur
LE PRENOM – 4 bonnes raisons d’aller voir ce film
- Parce que l’adaptation est très fidèle à la pièce.
- Pour connaître le fameux prénom…
- Pour les comédiens : excellents.
- Pour les dialogues, intelligents, drôles, brillants.
Adaptation
Le Prénom n’est autre que l’adaptation cinématographique de la pièce de théâtre à succès éponyme et dont ses auteurs, Mathieu Delaporte et Alexandre de La Patellière, se sont eux-mêmes chargés de la mise en scène.
Avant d’être adaptée au cinéma, la pièce de théâtre « Le Prénom » a profité de pas moins de 250 représentations au Théâtre Edouard VII de Paris. Une aubaine pour la majorité des comédiens, lesquels n’ont donc pas eu besoin de longues séances de répétitions avant d’entamer le tournage
Un sujet sensible
Le choix des prénoms attribués aux nouveaux-nés a toujours été un sujet sensible de notre société, agrémenté de désaccords familiaux ou encore d’avis d’amis pas toujours très flatteurs. Le réalisateur Alexandre de La Patellière en a particulièrement fait les frais : « En bons « bobos » que nous sommes, nous avons donné à nos enfants des prénoms assez originaux. A l’occasion de vacances communes en famille, on a pu remarquer combien cela provoquait des réactions épidermiques, même dans un univers policé comme le nôtre ! », confie-t-il