– MAMAN
4 bonnes raisons d’aller voir ce film
- Pour le prestation des comédiennes, toutes 3 magnifiques.
- Parce qu’Alexandra Leclère réussit à nous faire rire sur un sujet dramatique.
- Parce que ce film touchant, nous fait comprendre à quel point l’amour d’une mère est important.
- Parce que le personnage de Josiane Balasko est exécrable mais qu’on n’arrive pas vraiment à la détester.
Un sujet personnel
La cinéaste et scénariste Alexandra Leclère a puisé dans son vécu pour rendre son travail plus authentique. Ayant elle-même souffert d’un manque d’affection parentale, elle a choisi, dans Maman, de partir de ce qui la touche personnellement pour tenter d’aller vers une représentation de sentiments plus universels : « Je voulais parler du manque d’amour maternel sans savoir par quel biais l’aborder. Il ne s’agit pas pour moi d’étaler une histoire personnelle ou de régler quelque chose, même si je m’inspire d’un sentiment réel, profond. Alors, partant de cette carence affective, j’ai imaginé cette histoire de mère qui débarque après avoir été terriblement absente, et de ces deux sœurs qui, pour arriver enfin à lui parler franchement, ne vont pas lui laisser le choix », confie-t-elle.
– MEN IN BLACK 3
En quinze ans de carrière chez les Men in Black, l’agent J a vu beaucoup de phénomènes inexplicables… Mais rien, pas même le plus étrange des aliens, ne le laisse aussi perplexe que son partenaire, le sarcastique K.
Lorsque la vie de K et le destin de la Terre sont menacés, l’agent J décide de remonter le temps pour remettre les choses en ordre. Il va alors découvrir qu’il existe certains secrets de l’univers que K ne lui a jamais révélés. Il est cette fois obligé de faire équipe avec l’agent K, plus jeune, pour sauver la vie de son partenaire, l’agence, et l’avenir même de l’humanité…
Un projet de galérien…
La mise en chantier de Men in Black III n’a pas été de tout repos… Le projet initié en 2009 s’est tout d’abord heurté à de solides problèmes de scénario : de grands scénaristes comme Etan Cohen, Jeff Nathanson ou David Koepp ont tenté de donner de la cohérence à cette histoire de voyage dans le temps compliquée. Tellement compliquée que le tournage a démarré sans que le scénario ne soit achevé ! Et les ennuis ont continué, les prises de vues ayant dû s’arrêter plusieurs semaines pour la réécriture des scènes se déroulant dans le passé, à la demande de Will Smith, augmentant ainsi le budget de manière considérable… Au total, le film a coûté 75 millions de plus que le second volet, devenant un pari risqué pour Sony, comme le confie le réalisateur Barry Sonnenfeld : « On savait en démarrant le film qu’on avait pas de 2ème ou 3ème acte achevé. Etait-ce responsable ? La réponse est que, si le film marche aussi bien que je le pense, c’est un coup de génie. Si c’est un échec total, alors ce sera une idée stupide. »
Le grand méchant de Men In Black III, Boris (interprété par Jemaine Clement), appartient à la race extraterrestre des « Boglodites » (inventée pour le film), et sa conception physique nécessitait plus de 4 heures de maquillage tous les matins. Pour son rôle, l’acteur, que l’on a déjà pu apercevoir dans la série Flight of the Conchords, a puisé son inspiration dans des cassettes d’apprentissage d’anglais, ce qui lui donne un accent très prononcé, et des expressions assez exagérées.