Première Semaine des VACANCES SCOLAIRES

QUELQUES MOTS sur les deux séances dans le cadre DANS TREGER :

–      Hommage à YOUENN GWERNIG avec un premier film « Gant Youenn Vras » qui part à la découverte du personnage à travers ses souvenirs, sa mémoire, ses créations mais aussi sa vision de La Bretagne et du monde. Puis avec « En dro da Youenn » vous passerez un moment avec quelques uns de ses compagnons de route : chanteurs et musiciens bretons. Ils l’ont accompagné ou interprètent encore aujourd’hui ses chansons. Parmi les invités à cette soirée  10 choristes de « La  Chorale du Bout du Monde » dont Christian DESBORDES le chef de chœur.

–      Cycle Thierry COMPAIN avec « LE VILLAGE AU CIMETIERE » et « MALARJEZ ». A l’île Grande, tous les ans on prépare le carnaval (MALARJEZ), Thierry COMPAIN vous parlera des rituels et des symboliques, une invitation à découvrir les enjeux d’un des plus petits carnavals.

  Kirikou ET LES HOMMES ET LES FEMMES

Réalisé par Michel Ocelot, Avec Romann Berrux, Awa Sène Sarr

Et de trois !

Après le succès de Kirikou et la sorcière puis de Kirikou et les bêtes sauvages, Michel Ocelot retrouve son personnage fétiche pour la troisième fois avec Kirikou et les hommes et les femmes.

Les encouragements

Initialement, Michel Ocelot ne comptait pas réaliser de suite à Kirikou et la sorcière. C’est grâce aux encouragements et à la forte demande des spectateurs qu’il a décidé de renouveler l’expérience avec Kirikou et les bêtes sauvages (2005), puis avec ce troisième film. Le réalisateur se souvient d’une réaction qui l’a particulièrement touché : « Je me trouvais au Brésil pour présenter Azur et Asmar. Au premier rang dans la salle de cinéma, il y avait un Indien. Il s’est levé à la fin de la projection pour dire tout le bien qu’il pensait de Kirikou et la sorcière, et pour préciser qu’avec mon film j’avais fait la description exacte de sa tribu au bord de l’Amazone. J’ai ainsi découvert que j’avais donné de la dignité aussi à ces gens, qui ont pu voir sur l’écran des personnes peu ou pas habillées, que le public respectait. Et ils en voulaient d’autres. »

Co-écriture

Pour faire durer l’histoire de Kirikou plus longtemps, Michel Ocelot a décidé de revenir sur l’enfance du petit personnage, qui se souvient de plusieurs de ses aventures. Dès son deuxième film, Kirikou et les bêtes sauvages, le réalisateur a fait appel à d’autres scénaristes pour avoir le plus d’idées possibles. Après avoir reçu cinquante propositions, il a fini par collaborer dans ce troisième opus avec cinq scénaristes dont Bénédicte Galup, avec qui il avait déjà travaillé dans le premier Kirikou, et qui avait co-réalisé le deuxième avec lui .

Entre tradition et 3D

Après avoir débuté sa carrière en animation traditionnelle, Michel Ocelot a eu du mal à intégrer dans son nouveau film la 3D, qu’il qualifiait même au départ de « tricherie ». Le réalisateur a toutefois fait en sorte que le résultat de son travail arrive à concilier techniques modernes et tradition, en conservant au maximum le côté artisanal de ses premiers dessins : « Ce nouveau Kirikou devait être un « vrai Kirikou ». Il fallait que je garde l’image de base, un bon dessin au trait et une couleur plate. Ce traçage, principalement automatique, a été le résultat d’un long travail par l’équipe des techniciens-artistes de Mac Guff. (…) Je trouve le résultat si réussi qu’il me semble que ce n’est plus une tricherie mais une nouvelle technique… »

Fin de la trilogie

Michel Ocelot a annoncé que ce film était son dernier Kirikou. Il s’est même opposé à ce que d’autres réalisateurs reprennent le même personnage en disant : « J’ai amplement vérifié que j’étais le seul à pouvoir raconter des histoires de Kirikou, car Kirikou, c’est moi. Si je ne peux plus faire d’histoires de Kirikou, Kirikou s’arrête, et j’invite des auteurs à créer leurs histoires à eux. »

 

Taken 2

Avertissement : des scènes, des propos ou des images peuvent heurter la sensibilité des spectateurs

Vous avez dit cosmopolite ?

Le film, tourné entre Los Angeles et la Turquie, est une production française (Luc Besson) qui met en vedette un acteur irlandais (Liam Neeson) aux prises avec un mafieux albanais interprété par le comédien croate Rade Serbedzija. Une vraie tour de Babel !

« Oubliez James Bond ! »

En tournant Taken, puis en enchaînant sur plusieurs films d’action dans la foulée, Liam Neeson a acquis des connaissances particulières sur le milieu de la CIA, notamment grâce aux consultants avec qui il a eu l’occasion de travailler au cours des différents tournages, expérience qu’il a mise à profit sur Taken 2. Selon lui, ce genre de film donne à voir des faits qui s’inspirent véritablement de la réalité, ce qui le pousse à affirmer : « Oubliez James Bond… Là, c’est pour de vrai ! »

Vecteur d’identification

Lorsque l’on demande à Liam Neeson d’expliquer le succès surprise du premier volet de Taken, l’acteur répond qu’il s’agit essentiellement d’un facteur d’identification qui entre en ligne de compte : la situation de départ à laquelle le héros se trouve confronté est un cauchemar qui pourrait toucher tous les parents. Selon lui, « le problème auquel est confronté Bryan est une situation dans laquelle chacun de nous peut se projeter (…) Si votre enfant était menacé, vous feriez n’importe quoi pour enrayer cette situation ». La comédienne Famke Janssen poursuit sur cette lancée en ajoutant : « Taken avait touché une corde sensible chez les gens. »

La Turquie, une destination en vogue

Alors que certaines scènes de Taken 2 ont été tournées en Turquie, le pays semble être une destination à la mode pour les équipes de films : ainsi, en 2011, La Taupe avait déjà mis le pays à l’honneur, tandis que l’on peut également admirer les paysages turcs dans l’un des « blockbusters » les plus attendus de 2012, Skyfall. A propos des charmes d’Istanbul, toute l’équipe de Taken 2 s’accorde à dire que la lumière et les monuments confèrent à la ville une atmosphère particulière qui donne l’impression d’être immergé dans une page de l’Histoire, comme le déclare notamment la jeune Maggie Grace : « Cette ville [est] incroyable, ça donnait l’impression de littéralement sentir l’Histoire. »

Une logistique prise de tête

Istanbul est une ville qui abrite de nombreux monuments vieux de plusieurs siècles. Il était par conséquent impossible de les appareiller trop lourdement avec un attirail de caméras qui aurait pu les endommager… Pour remédier aux problèmes qui se sont posés lors du tournage de certaines scènes particulièrement délicates, le cinéaste Olivier Megaton a donc eu recours à des caméras fixées sur des mini-hélicoptères télécommandés !

Une phrase déjà culte

Dans Taken, l’acteur Liam Neeson sort une « punchline » digne du plus « badass » des héros : « I will look for you, I will find you and I will kill you » (qui pourrait se traduire par « Je vais te chercher, je vais te trouver, et je vais te tuer »). Cette réplique déjà culte a été détournée plus d’une fois par les internautes, mais également par l’équipe du film, qui s’est amusée à la reprendre pour la fête des pères dans le cadre de la promotion du second volet de la saga ! Espérons que le héros nous réserve des dialogues tout aussi cultes pour Taken 2 !

PG-13

Le film, qui s’adresse au grand public, a pourtant écopé d’une interdiction aux moins de 13 ans de la part de la Motion Picture Association of America. En cause, des allusions à la prostitution, des scènes d’action violentes, mais aussi l’usage de drogue et d’alcool, sans oublier l’emploi d’un vocabulaire parfois cru.

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